La serrure biométrique
Depuis une dizaine d'années, la serrure biométrique a commencé à s'imposer auprès des particuliers et des entreprises. En effet, élaborée pour les lieux et institutions nécessitant une haute sécurité, elle est désormais accessible à tous.
La serrure biométrique par excellence est appelée serrure sans traces. Elle s’ouvre grâce à l’empreinte de la rétine ou les veines du doigt.
La société de serrurerie Alsa Concept propose cette innovation aux entreprises privées, aux commerces, mais aussi au grand public qui désire se protéger de manière maximale. En effet, les risques d’effraction sont pratiquement nuls compte tenu de la technologie utilisée. Les moyens d’y parvenir exigent de la part des personnes mal intentionnés des techniques plus sophistiquées que l’effraction d’une simple serrure. Toutefois, le serrurier peut le rendre très discret en lui donnant l’aspect d’une serrure classique.
La serrure biométrique repose sur l’utilisation des empreintes – du doigt, du contour de la main ou de la rétine – ou du réseau veineux du doigt comme clé. L’accès à une maison, à une pièce ou à un rangement est strictement limité aux personnes préalablement autorisées. Une serrure biométrique possède une capacité de mémoire étendue, ce qui lui permet de conserver un grand nombre d’empreintes pour les entreprises, ou un peu moins pour les particuliers. En vous accompagnant tout au long de votre projet, le serrurier peut vous recommander les critères qui vous conviendront, les bonnes pratiques concernant son utilisation ainsi que les normes exigées, notamment par les compagnies d’assurance. Généralement, il est stipulé dans les contrats d’assurance la nécessité d’un modèle ayant au moins trois points d’ancrage. Pour plus de sécurité, le site Serrurier-métallier Sarre-Union recommande d'opter pour un produit homologué A2P, lequel garantit la résistance aux tentatives d’effraction. Votre serrurier vous expliquera également les systèmes de secours existants, ceci étant nécessaire si une panne de courant survient.
